No Zamis Lé Hyens
(1h20, StudioCanal, 2005)
Auteur, réalisateur, journaliste, co-producteur exécutif
Avec Bertrand Blier, Nicolas Boukhrief, Albert Dupontel, Jean-Pierre Jeunet, Terry Jones, Jan Kounen et… Robin Williams.
Disponible dans les éditions 2DVD collector (celle qui coulisse des deux côtés et s’ouvre en déployant une pelle) et blu ray Studio Canal…
…It’s… The Monty Python Party !
(0h06, Bandits Company, 2005)
Réalisateur, producteur, cadreur, directeur de la Photographie
Avec Michael Palin
Court-métrage avec Michael Palin, projeté en exclusivité au Grand Rex en introduction de la Monty Python Party.
Nota : ce court-métrage était suivi de deux modules de présentations (5 minutes chacun) de “Sacré Graal” et “La Vie de Brian”, également tournés à Londres, début février 2005, avec Michael Palin.
Alice In Gilliamland
(0h30, Bandits Company/Bac Vidéo, 2006)
Catching Vincenzo Natali
(0h18, Bandits Company/Bac Vidéo, 2006)
Réalisateur, auteur-journaliste, producteur (pour les deux)
Également cadreur et directeur de la Photographie (pour “Catching Vincenzo Natali”)
Avec Terry Gilliam et Vincenzo Natali
“Catching Vincenzo Natali” a été tourné en extérieur à Cannes (moteur de pétaradante moto inclus !) et est disponible uniquement dans l’édition prestige 2 DVD française de “Tideland”. Le titre est un clin d’œil à son propre making of du film, “Getting Gilliam”, que j’avais réussi à récupérer grâce et avec l’accord de Jeremy Thomas (le producteur de “Tideland”).
Dans cette même édition prestige se trouve également “Alice In Gilliamland”, tourné à Paris, dans une chambre de l’hôtel Lancaster, près des Champs-Elysées, et qui est également exclusif à cette édition.
Les Aventures Improbables de Terry Gilliam part 8 & 1/2
(0h08, France Télévisions, 2006)
Réalisateur, auteur-journaliste
Avec Terry Gilliam
Tourné dans un parc londonien, cette interview exclusive réalisée pour l’émission “Comme au Cinéma” présentée par Daniela Lumbroso, fut aussi l’occasion de s’amuser à “reprendre” deux séquences de “Sacré Graal”, à savoir l’arrivée avec écuyer et noix de coco inclus, ainsi qu’une autre scène qui nécessita que j’amène (par l’Eurostar !) ma reproduction taille 1:1 de l’épée d’Excalibur (que j’ai failli ne pas pouvoir ramener en France et que les douaniers n’ont débloqué qu’une fois que nous leur avons montré les rushs tournés dans l’après-midi).
Il en existe une version plus longue (0h14), avec une longue introduction (en noir et blanc, filmé par moi-même avec mon premier fils Axel, dans les champs à Auvers, avec des haricots magiques, des araignées et une épée en bois !) sur l’enfance de Terry Gilliam, version que nous n’avons pas proposé car trop longue. Et malheureusement version dont je n’ai plus aucune trace, en dehors de l’ensemble des rushs, bien sûr, toujours en ma possession.
La version de 8 minutes sera bientôt disponible ici-même.
Blier, Connais Pas
(0h06, France Télévisions, puis Wild Side Vidéo, 2006)
Réalisateur, auteur-journaliste
Avec Bertrand Blier et… Bertrand Blier !
Second reportage pour l’émission de Lumbroso et déjà des problèmes de “censure”, donc second et… dernier reportage pour “Comme au Cinéma” !… L’idée d’avoir Blier se cuisinant lui-même, pour un abécédaire forcément décalé, avait tout de suite plu, sauf que les producteurs de l’émission avaient eu par la suite un peu de mal à comprendre et admettre qu’un abécédaire, eh bien ça durait 26 lettres !… Du coup, désireux de garder un semblant d’équilibre et de sens à tout ceci, j’avais décidé de l’amputer moi-même, en démarrant par le B de Blier et en terminant par le R de Blier aussi (ce petit film a ainsi été diffusé à la télévision sous le titre de “Blier par Blier, de B à R”).
À noter que pour écrire la petite introduction, que Blier allait découvrir en regardant l’émission chez lui (seuls Monica Bellucci et Bernard Campan —c’était pour la sortie de “Combien Tu m’Aimes ?”—, évidemment jugés plus glamour et surtout moins imprévisibles, je m’étais inspiré de dialogues d’Audiard tirés de films dans lesquels avaient joué le père de Bertrand, Bernard Blier.
Ensuite, notre petit film fut repris dans l’édition 2DVD du film (attention, pas la simple), parue chez Wild Side, à la seule différence que la voix off de l’introduction a dû être refaite.
La seconde version sera bientôt disponible ici-même.
Charlotte, etc.
(0h44, Bandits Company/M6 Vidéo, 2009)
Réalisateur, auteur-journaliste, producteur
Avec Charlotte Gainsbourg
Pour la sortie en France (en DVD et blu-ray) du “Antichrist” de Lars Von Trier, M6 Vidéo m’avait demandé si je pouvais organiser et assurer une interview de Charlotte Gainsbourg, sachant que je l’avais déjà interviewée (nous avions fait notre couverture de “Brazil” avec le film, au moment de sa présentation plus que controversée à Cannes) et alors qu’elle a habituellement un peu de mal à s’épancher, elle s’était montrée au contraire particulièrement prolixe.
Son emploi du temps étant particulièrement complexe (elle revenait tout juste des lectures et préparation de “L’Arbre” aux États-Unis et repartait le jour même pour le tournage du même film… en Australie !) et n’ayant que deux ou trois jours pour préparer l’entretien, réunir une équipe, etc., j’avais émis une seule requête : que l’éditeur me trouve un lieu suffisamment grand (mais restant intimiste), parce que je voulais filmer à trois caméras. Bien sûr, ils me répondirent par l’affirmative et ce n’est qu’une heure avant de commencer à tourner que nous avons découvert que nous allions devoir travailler les uns sur les autres, dans une toute toute petite pièce !…
Je me souviens aussi des craintes et doutes de l’équipe technique, alors que je “perdais” nos dix premières minutes, à discuter avec Charlotte (en réalité à la “préparer”, psychologiquement, avec le secret espoir qu’elle parle beaucoup et bien, dès les premiers instants). En effet, nous n’avions qu’une heure au total et ils craignaient que nous ne puissions pas avoir suffisamment de matériau pour monter notre petit bonus… C’est mal connaître le Goof que je suis et alors que M6 Vidéo m’avait demandé un module d’un quart d’heure nous avons pu en livrer trois, de quarts d’heure !
A Date With Lloyd Cole
(0h52, Pixies Films/Bandits Company,, 2010)
Concepteur, auteur-réalisateur, journaliste
Avec Lloyd Cole
L’idée de ce qui aurait pu (du ?) être une émission solidement installée dans le paysage audiovisuel musical mondial (n’ayons pas peur d’être grandiloquent, hein !) était simple, pour ne pas dire limpide : une rencontre, avec un musicien, qui se raconte, et clôture chaque chapitre de sa trajectoire par une chanson, représentative dudit chapitre. Le tout tourné sans aucune coupure, à plusieurs caméras avec l’utilisation du split screen pour bien montrer que nous ne faisions qu’une prise. Et Avec, comme je l’ai toujours fait dans mes interviews, un énorme travail de préparation (qui justement permet ensuite de n’avoir qu’une prise), mais en m’effaçant encore plus puisque je n’apparais ni à l’écran, ni à l’audio.
Ce premier épisode fut tourné en tant que pilote et montré à toutes les télévisions susceptibles d’être intéressées par la chose —et qui, en substance, nous répondirent toutes que, grosso modo, “c’est vachement bien, mais non merci, c’est ‘trop bien’ pour nous, sous-entendu ‘vous ne pourriez pas plutôt faire de la merde, qu’on travaille ensemble ?!’, bref une nouvelle preuve que tout ce petit monde se laisse tirer vers le bas et une médiocrité toujours plus prégnante.
J’avais choisi Lloyd Cole, car je savais qu’il s’exprimait parfaitement bien, posément, bref qu’il serait le parfait client. Aussi, il n’est jamais meilleur, musicalement parlant, que seul avec sa guitare. Enfin, je l’avais déjà rencontré (et interviewé) à plusieurs reprises et nous nous connaissions un petit peu. Mais la façon dont tout ceci s’est goupillé est bien plus expéditive encore que le rendu, propre et carré, ne pourrait le laisser entendre.
En effet, j’avais soumis l’idée à mon ami producteur Remy Badan (de Pixies Films) seulement deux ou trois jours seulement (ce devait être un lundi matin, de mémoire). Le jeudi de la même semaine, je déjeunais avec Lloyd et lui expliquais mon idée, tout en lui demandant s’il serait OK pour tourner dès le lendemain après-midi (j’avais au préalable fait un peu le ménage dans son emploi du temps, avec l’aide de son attachée de presse, laps de temps que Remy avait mis à contribution pour monter une petite équipe). Très enthousiaste, il avait répondu par l’affirmative et je lui avais soumis mon découpage, découpage que nous avions ensuite fignolé à distance, en nous envoyant de nombreux SMS et emails plus tard en soirée. Le lendemain en début d’après-midi, nous avions rendez-vous dans un petit théâtre, que Remy avait pu louer pour deux heures seulement (des répétitions avaient lieu juste après) et… en deux heures, nous avons réussi à préparer notre lumière, notre son et à tirer un beau 52 minutes de tout ceci !…
Mascarade “Rien n’a Foot”
(0h04, Goof Prod, 2015)
Réalisateur, producteur
Avec Jneb (Mascarade), Mélody Donchet, Léo Desmont et Dimitri Goffette
Tourné en deux temps, tout d’abord dans mon jardin, avec mon second fils Dimitri, un copain d’école à lui, Jneb de Mascarade, descendu de son Ch’nord et Mélody Donchet, la multiple championne du monde de Freestyle Foot, également venue tout spécialement pour l’occasion. Puis, chez Eddy Brière, mon fidèle chef opérateur (et co-réalisateur ici avec moi).
Jneb n’étant pas le dernier pour faire le con, il avait accepté toutes mes idées, particulièrement les plus stupides (nager dans une mini piscine d’un mètre carré, etc.), bref nous avons passé un chouette moment et nous sommes bien marrés à confectionner ce petit clip rigolo et bien sûr sans aucune prétention.
> Lien Vimeo / Lien Youtube
Bloody & Groovy, baby !
(0h52, StudioCanal/Kaplan/Goof Prod, 2018)
Auteur-réalisateur, journaliste, producteur exécutif
Avec Roger Corman, Guillermo Del Toro, Fabrice du Welz, Xavier Gens, Christophe Lemaire, Aurélien Lemant, Aurélia Mengin, Vincenzo Natali, Marcus Nispel, Eric Valette et Edgar Wright.
On pourrait presque parler de superproduction ici, tant j’ai l’habitude de faire beaucoup avec peu… Tournages à Paris, L.A., Toronto, Bruxelles et même Goofland (pour le générique très très gore avec main coupée, tronçonneuse, faux œil arraché avec une perceuse et de la tripaille, en veux-tu, en voilà !)… Pour la ressortie en édition 4K d'”Evil Dead 2″, StudioCanal n’avait pas été jusqu’à nous faire un chèque en blanc, loin s’en faut, mais en tout cas c’était montré ouvert, ce qui nous avait permis d’avoir une dizaine d’intervenants, dont Guillermo Del Toro, de faire créer notre propre musique de générique, d’avoir un peu de temps pour le montage et donc de s’amuser avec du faux sang et quelques abats et viscères fournis par le boucher d’Auvers-sur-Oise (!)… Résultat : le film a tant plu que non seulement il est disponible dans toutes les éditions steelbook européennes (les deux éditions françaises, mais aussi les anglaise, espagnole et allemande), mais aussi a-t-il été pris par Lionsgate pour ses sorties en Amérique du Nord et en Amérique latine (pas en steelbook, ceci dit, pour ces éditions-là, et avec donc un visuel différent).
Walking Into Clarksdale
(0h16, Goof Prod, 2019)
Réalisateur, cadreur, monteur, producteur
Avec Kevin Brown…
A musical journey with Kevin Brown, and a video companion to the release of his new album, “6 strings and a Dream”, available on CD and soon in vinyl edition. For more information, go here.
>> LIEN VIMEO
The film, which features 4 songs in all, was cut into three clips (the second song remains exclusive) for the release of Kevin Brown’s album “Six strings & a Dream” (with small modifications, notably in terms of grading).
Holding Up The Sky
(0h08, Goof Prod, 2020)
Réalisateur, cadreur, monteur, producteur
Avec Klee Benally…
Part of the “Mother Road Father Tales” sessions, filmed in Flagstaff, AZ, on day 30…
Lien Vimeo
- Uchronia (1h36 – Goof Prod, 2020 — scénariste, réalisateur, producteur, monteur)
- Crazy H (work in progress — scénariste, réalisateur)
- Blue Indians (work in progress — scénariste, réalisateur, producteur)
- Profession Régulateur (work in progress — scénariste, ?)